Les Témoignages
Merci Droit Au Travail pour affirmer que tout le monde a droit au travail et redonner courage, espérance et surtout la certitude de leur utilité à tant d’hommes et de femmes.
Merci pour l’accueil, l’écoute la foi en tous ceux et celles qui galèrent dans le chomage.
Un merci particulier à Pierre, Odile et les autres sans qui aujourd’hui, la Communauté Saint Benoit n’existerait pas. Je souhaite de tout coeur que votre engagement dure encore longtemps.
Merci de m’avoir aidé pour mon dossier et celui de mon ami.
Merci pour m’avoir aidé à trouver du travail ainsi qu’un logement. J’étais endettée et vous m’avez aidé à mieux gérer mon argent et depuis je vais mieux gr‰ce à vous.
Merci de l’accueil souriant lorsque je suis venue en compagnie de ma fille pour avoir des renseignements. Je n’ai jamais oublié les lundis de partage, de prière et de jeun. Je prends dans mon coeur votre avenir et vous exprime toute mon amitié et ma reconnaissance.
Merci encore pour le travail de maonnerie.
Merci d’avoir choisi de résider dans le quartier de la Grande Résidence et d’y tre accueilli avec une oreille attentive.
Merci pour toutes vos actions depuis tant d’années.
Merci d’avoir choisi le quartier de la Grande Résidence, votre présence contribue à la bonne tenue du quartierÊ; Vous tes un point de repère pour beaucoup d’habitants.
Merci pour le bon accueil et l’écoute à chacun de mes passages.
Merci, car non seulement vous aidez les ch™meurs dans leurs recherches d’emploi vous les aider également à sortir de la galèreÊ; Ils savent qu’ils trouveront une oreille attentive.
Merci pour l’aide que vous m’avez toujours apportée et je souhaite que vous viviez encore longtempsÊ; Avec toute mon amitié.
Merci de regarder le ch™meur comme un homme et non pas comme quelqu’un sans travail.
J’ai été témoin de tout ce qui a été vécu avec ÇÊDroit au travailÊÈ depuis ses débuts avec Pierre et Odile. Je voudrai vous dire merci pour tout le travail accompli.
Juste merci de nous aider, de nous soutenir dans les coups durs, d’tre à notre écoute sans porter de jugement, j’espère que votre action continueraÊ; En un mot Merci Droit au travail.
Merci. Nous en sommes témoins depuis que nous partageons le mme palier, vous tes indispensables au ch™meur, au quartier. Vous leurs apportez un peu de dignité de fraternité de chaleur.
Q: Comment as-tu connu l’association ?
Suite à un bilan de compétences demandé par pôle emploi, il est ressorti que j’avais les compétences requises pour la médiation. J’ai donc effectué une EMT (évaluation en milieu de travail) en tant que médiatrice à l’association «Droit Au Travail»
Q: Comment cela s’est-il passé ?
Le stage s’est très bien passè. Ils ètaient contents de moi et, de ce fait, «Droit Au Travail» m’a accueillie le 13 décembre dans le cadre d’un contrat « adulte relais ».
Q: Que t’apporte l’association ?
Le côté relationnel me plait beaucoup. Cela me permet d’échanger avec un public varié et surtout d’aider, ce que j’aime par-dessus tout.
Q: Que t’apporte l’association ?
Je viens pour parler, pour dire bonjour, pour avoir des renseignements pour mes papiers. Je suis très bien reçu par Patricia et Joël. Grâce à l’association, j’ai occupé un poste 2 ans et demi à Récup’tri et 3 ans à Métaleurop. Je suis content de l’association et j’espère que cela continuera longtemps.
Q: Comment as-tu connu l’association ?
J’ai connu l’association «Droit Au Travail» grâce à Pierrette, une amie. Cela m’a permis de remonter la pente. En y venant, j’ai eu un soutien moral et j’ai réussi à retrouver du travail grâce à l’association. Je suis entré à Relais Travail: ma tâche consistait à effectuer du nettoyage chez les personnes âgées. Ensuite J’ai été embauché à ETEL: j’occupais le poste d’ébarbeur (meulage de pièces métalliques). ETEL vient de fermer et je suis licencié économique, l’association m’a aidé dans cette épreuve et je garde espoir de retrouver du travail.
Corinne a rejoint l’association il y a un peu plus d’un an : « Mon mari travaillait et je m’ennuyais. Il fallait que je sorte d’une dépression. Je devais m’occuper. J’avais envie de faire du bénévolat. Comme je jouais aux boules, à l’association des ROCoeur, Christiane m’a parlé de l’association «Droit Au Travail». J’ai rencontré Véronique qui m’a proposé de faire du bénévolat à l’Epicerie Solidaire. Cela fait plus d’un an que j’y vais régulièrement, et cela m’a fait du bien pour le moral. A l’Epicerie, ce qui m’intéresse, c’est tout…, l’ambiance…, tenir un commerce… Quand j’ai entendu que l’association cherchait à embaucher, j’ai postulé. J’ai la même ambition, et même plus forte : réussir, aller plus loin dans les projets comme rechercher des donateurs pour les denrées alimentaires… continuer les performances. J’ai trouvé ma place, et cela m’apporte beaucoup. Ce qui me touche le plus, ce sont les personnes que je rencontre : elles sont dans la détresse. Il y a de plus en plus de monde qui ont beaucoup de difficultés, et j’ai envie de leur apporter un peu de bonheur! ».
Gabriel a 30 ans et a connu l’association par son père qui était sorti du chômage grâce aux structures du groupe ARDENSE. « Si je viens à l’association, c’est pour avoir du boulot, mais aussi pour parler, pour qu’on m’aide dans mes papiers, pour avoir un coup de pouce parce que l’association a du poids, et… c’est gratuit ! Cela fait plus de dix ans que je fais de l’Intérim. Ca me gave ! Et j’ai un petit garçon, bientôt un deuxième. Alors, cela serait bien d’avoir enfin un boulot fixe. On fait un tas de demandes, et il faut toujours attendre. Depuis juillet, j’ai déposé une demande au PLIE de Liévin pour avoir du boulot comme électricien, c’est ma formation. J’attends toujours. Je pensais avoir un contrat pour la construction du Louvre. J’attends toujours… Et pourtant, j’ai un CAP en installation d’équipements électriques. On m’a demandé d’avoir les habilitations électriques. J’ai suivi les formations, et j’ai maintenant les habilitations BR, puis H1V e B1V. Les deux dernières, c’est l’Agence Intérim qui me les a fait passer. Cela ne suffisait toujours pas. On m’a demandé les risques chimiques. Il faut toujours plus de formation, et, finalement, ce qu’il me manque, c’est l’expérience !!!! Alors si aucune boite ne m’embauche, comment je l’aurais ? Cette année, comme je ne trouvais pas de boulot comme électricien, j’ai accepté de suivre la formation de 9 mois qu’on m’a proposé dans le cadre du RSA, et j’ai obtenu un niveau BAC Informatique, technicien de maintenance informatique. Et, aujourd’hui, je n’ai encore rien…. Une agence Intérim m’a convoqué, tout à l’heure, pour 11h… je vais avoir sans doute une mission, mais c’est toujours de la précarité. J’ai une famille, il faut la nourrir. Et, puis, pendant ce temps-là, je ne cotise pas pour ma retraite. Mon père, il avait eu de la chance de pouvoir commencer à travailler à 14 ans. Je voulais faire un BTS en informatique, en contrat de professionnalisation, mais je n’ai pas trouvé d’entreprise qui m’accepte. Alors, que dois-je faire? »
Q: Comment as-tu connu l’association ?
Pierrette a connu l’association dès 1990…. Et, aujourd’hui, elle est en contrat à durée indéterminée à Main Forte, et est toujours aussi fidèle à y venir : « J’aime bien venir à l’association parce que je suis toujours bien accueillie, pour voir aussi tout le monde et discuter…. Sans oublier une bonne tasse de café ! Je ne me suis jamais lassée parce que j’aime venir pour me confier : cela me fait du bien, et je peux avoir confiance. Il faudrait que des associations comme l’association «Droit Au Travail» durent toujours. Elles aident les gens qui ont des problèmes, que ce soit pour avoir un logement, du travail, des conseils. Je conseille aux gens que je connais qui sont au chômage d’aller voir l’association pour qu’ils soient aidés, qu’ils trouvent un travail. Je leur dis qu’on nous aide beaucoup, qu’on nous appuie. On peut compter sur l’association. C’est grâce à l’association que j’ai trouvé du travail, à temps complet, et à durée indéterminée, et aussi un logement, et je n’ai plus de dettes alors qu'avant, j’en avais plein».
Q: Comment as-tu connu l’association ?
J’ai connu l’association, il y a une quinzaine d’années, par l’intermédiaire de mon père qui travaillait pour Relais Travail avec Jean-Luc d’Almeida. Je venais avec lui tous les mercredis quand je n’allais pas au lycée, ce qui m’a permis de faire des connaissances. Lorsque j’ai terminé l’école, j’ai d’abord travaillé pour Relais-Travail, puis j’ai eu un contrat à Récup’Tri. J’aime venir pour discuter, rencontrer des personnes, boire un café et sortir du quotidien. J’ai aussi animé un temps l’atelier informatique, je continue à être bénévole à l’épicerie solidaire par exemple. J’ai été conseillé dans mes démarches administratives et dans ma recherche d’emploi, ce qui me permet maintenant de pouvoir me débrouiller par moi-même. Je ne veux pas venir seulement pour profiter de l’association mais pour aider les autres dans la mesure de mes possibilités.
Sylvia a 33 ans. « J’ai connu l’association par Maman. Elle venait pour ses papiers, pour ses factures. Elle allait aussi à l’atelier « féminin » et à la couture. J’allais encore à l’école. Mais quand je n’avais pas classe, je l’accompagnais. J’avais 14 ans. Quand j’ai trouvé mon contrat Emploi-Solidarité, j’ai continué à venir à la couture. Mon parcours ? J’ai d’abord eu un contrat Emploi-Solidarité dans une Maison de Retraite sur Carvin. J’y allais en mobylette. Puis, j’ai travaillé à la Mairie en contrat à durée déterminée, comme Agent d’entretien. Après, je me suis inscrite à Relais-Travail, et j’ai fait des ménages. J’ai été aussi aux vendanges, en 1999. Puis, j’ai eu un CDD à la CARMI, comme aide-ménagère. J’allais sur Sallaumines, Noyelles, en scooter. Aujourd’hui, on ne me confie plus de missions, parce que je n’ai pas mon permis de conduire et, je ne peux pas le passer, cela coûte trop cher. …/… …/… J’aime bien l’association. Chaque fois que j’ai eu un problème administratif, il y a toujours eu quelqu’un pour me donner un coup de main. J’aime bien la couture à cause de l’ambiance. On parle de tout. On s’entraide entre nous. Cela fait longtemps qu’on se connaît. Je ne veux pas que l’association disparaisse. Cela serait trop dommage pour toute l’aide qu’elle apporte. Il y aurait un vide, un manque. Non, ce n’est pas possible. Je ne peux pas me l’imaginer. Elle est importante pour des personnes seules ou qui n’ont pas d’amis. On peut discuter tout en buvant du café. C’est convivial. Ici, je viens chercher un peu d’écoute… et je ne viens pas seulement pour l’aide qu’on peut en tirer sinon ce serait profiter de l’association. Non, je viens aussi sans attendre quoi que ce soit, mais pour parler autour d’une tasse de café. Cela fait du bien, et on ne le trouve pas ailleurs. La convivialité, c’est important. »
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